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Economie

Afrique-Entreprenariat : Microsoft signe une convention de partenariat avec la Bad

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Microsoft renforce son partenariat avec la Banque africaine de développement en vue de promouvoir l’entrepreneuriat auprès des jeunes africains.

Le partenariat vise à apporter un soutien technique et financier aux jeunes entrepreneurs au sein du continent africain.

Microsoft renforce son partenariat avec la Banque africaine de développement (BAD) en vue de soutenir les jnes entrepreneurs africains. Ce partenariat ét scellé dans le sillage de l’initiative de la mise en place par la BAD d’une Banque d’investissement pour la promotion de l’entrepreneuriat auprès des jeunes (YEIB).

 
Ainsi, Microsoft collaborera avec la Banque africaine de développement via son Africa Transformation Office (ATO), et ce afin de contribuer au développement d’écosystèmes d’entrepreneuriat destinés aux jeunes, mais aussi pour la création de nouveaux emplois et l’accompagnement de l’inclusion numérique en Afrique.


La population jeune de l’Afrique devrait doubler à l’horizon 2050, et ce afin d’atteindre 830 millions de personnes. Bien que 10 à 12 millions de jeunes rejoignent chaque année la population active du continent, à peine trois millions d’emplois sont créés chaque année, ce qui signifie qu’un grand nombre de jeunes sont condamnés à ne pas trouver d’emploi.

L’entrepreneuriat des jeunes contribue grandement à résorber la problématique liée à la pénurie d’emplois. Cependant, l’entrepreneuriat continue à souffrir du manque d’investissements et du manque d’accès abordable aux sources de financement.

« Nous pensons qu’il est possible de faire beaucoup pour favoriser l’entrepreneuriat des jeunes en collaborant avec la Banque africaine de développement, en favorisant une plus grande inclusion économique de ce segment clé de la population et, en fin de compte, en construisant une société plus prospère », déclare le directeur général du cluster régional Microsoft Afrique, Wael Elkabbany.

« Nous avons déjà connu un succès considérable en nous associant à des initiatives telles que le programme « Coding for Employment », qui vise à doter des millions de jeunes Africains de compétences employables, créant ainsi des emplois à grande échelle », ajoute-t-il.


Pour sa part, Solomon Quaynor, Vice-Président de la Banque africaine de développement pour le secteur privé, l’infrastructure et l’industrialisation, a déclaré : « Le renforcement de notre partenariat avec Microsoft qui rentre dans le sillage de la mise en place de la Banque d’investissement en vue de promouvoir l’entrepreneuriat auprès des jeunes (YEIB) en Afrique est un développement important dans notre parcours car il nous permet de mieux exploiter le dividende démographique de l’Afrique et de créer des millions de nouveaux emplois pour les jeunes Africains à l’horizon 2025. Cette initiative met l’accent sur l’esprit d’entreprise des jeunes, qui est indispensable pour atteindre des objectifs ambitieux dans le domaine de l’emploi ».


Ce partenariat favorise en outre la mise en place d’institutions nationales à travers un modèle de collaboration public-privé qui permettra d’accroître le soutien technique et financier apporté aux jeunes entrepreneurs et de renforcer leurs capacités. La Banque africaine de développement travaille d’arrache-pied à développer des écosystèmes dédiés à l’entrepreneuriat en Afrique. Elle invite toutes les parties et tous les partenaires financiers et non financiers concernés à soutenir les jeunes entrepreneurs par le biais de séances de mentorat, d’accompagnement, de partage de connaissances, etc.


En collaboration avec le secteur privé et avec une multitude de partenaires, la Banque d’investissement pour l’entrepreneuriat des jeunes a mis en place un système de financement dédié, mais aussi un système de garantie de crédit, ainsi qu’une panoplie de programmes d’assistance technique au profit des entrepreneurs. Elle plaide également auprès des gouvernements afin qu’ils lancent des réformes destinées à catalyser l’entrepreneuriat auprès des jeunes.

Microsoft s’appuie également sur son écosystème de partenaires, qui couvre 54 pays sur le continent, pour agir sur des solutions technologiques clés dans quatre domaines essentiels. Il s’agit de la formation professionnelle, de la connectivité, de la numérisation des petites et moyennes entreprises (PME) et du matériel. 


Formation professionnelle

L’idée est de parvenir à mieux connecter les jeunes aux opportunités économiques et aux compétences d’employabilité, à travers un parcours de carrière et des formations. Cela inclut la mise en place de plateformes d’apprentissage en ligne telles que Coding for Employment. L’initiative vise également à renforcer la participation d’entreprises à la formation des jeunes.


Connectivité

En s’appuyant sur des solutions de connectivité éprouvées telles que Microsoft Airband, Microsoft vise à développer des modèles d’infrastructure efficaces pour aider à réduire la fracture numérique. Dans le même temps, l’entreprise soutient d’autres solutions innovantes sur le marché, par le biais d’investissements directs ou indirects.


Numérisation des Petites et Moyennes Entreprises (PME)

Le partenariat vise en outre à améliorer la culture numérique et les compétences commerciales des PME en leur offrant un accès à des contenus d’apprentissage, mais aussi en leur proposant des certifications, des solutions commerciales, l’acquisition de compétences commerciales et de compétences numériques idoines. Cela est réalisé en partenariat avec LinkedIn et par le biais de programmes de formation tels que MS Learn ou encore la Cloud Academy. L’accès au financement destiné aux PME numériques est également facilité grâce à des partenariats paraphés par Microsoft.


Matériel
L’accès des PME à des solutions matérielles groupées sera facilité par Microsoft et par ses partenaires. Les PME pourront également se procurer une panoplie de nouvelles technologies développées par Microsoft à des prix réduits.


Le partenariat constitue également un élément important de la mission de Microsoft ATO, qui consiste à offrir à 10 millions de PME les moyens d’agir à travers des initiatives et des investissements dédiés, et à générer la capacité nécessaire pour passer réussir à fournir des compétences numériques à 30 millions d’Africains.

« Nous sommes enthousiastes quant au potentiel d’une telle collaboration qui, nous en sommes convaincus, permettra de renforcer le travail de Microsoft en matière de soutien et d’accélération de l’inclusion numérique en Afrique. L’économie numérique joue un rôle important en donnant naissance à des entreprises encore plus innovantes qui ne manqueront de créer des emplois durables pour les jeunes Africains. Plus nous veillerons à ce que les jeunes entrepreneurs en herbe aient toutes les chances de prendre de plain-pied part à l’économie numérique, plus nous nous rapprocherons de la construction d’un avenir plus prospère pour tous », conclut Angela Kyerematen-Jimoh, responsable des partenariats stratégiques chez Microsoft ATO.


FIN


À propos de Microsoft

Microsoft (Nasdaq « MSFT » @microsoft) accompagne et stimule la transformation numérique à l’ère du cloud intelligent et de la périphérie intelligente. Sa mission est de donner à chaque personne et à chaque entreprise dans le monde les moyens d’en faire plus. Pour plus d’informations, d’actualités et d’aperçus autour des différentes actions et opérations réalisées par Microsoft, n’hésitez pas à consulter le Centre d’actualités de Microsoft Moyen-Orient et Afrique.

Les possibilités en Afrique sont immenses, mais il est urgent d’adopter des plateformes numériques qui contribuent à accélérer la croissance économique du continent et qui permettent aux Africains d’être davantage ancrés au sein de l’économie numérique mondiale. Par l’intermédiaire de l’Africa Transformation Office, Microsoft se concentre sur quatre domaines de développement essentiels – l’infrastructure numérique, la formation, les PME et les start-ups. L’entreprise a paraphé de nombreux partenariats stratégiques avec des alliances et des coalitions industrielles, et ce dans l’objectif de soutenir les investissements en Afrique et d’étoffer les services numériques au sein du continent.

A propos de la Banque Africaine de Développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement est la première institution de financement du développement en Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). Présent sur le terrain dans 41 pays africains et disposant d’un bureau externe au Japon, la Banque contribue au développement économique et au progrès social de ses 54 États membres.

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Economie

La présidente du parlement sud-africain prend un congé spécial à la suite d’une enquête sur la corruption

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La présidente de l’Assemblée nationale sud-africaine, Nosiviwe Mapisa-Nqakula, a déclaré jeudi qu’elle prendrait un congé spécial à la suite d’une enquête sur des allégations de corruption à l’époque où elle était ministre de la défense.

Des enquêteurs ont perquisitionné le domicile de Mme Mapisa-Nqakula mardi dans le cadre de l’enquête sur la corruption, mais ils n’ont pas fourni d’autres détails sur l’enquête ou les allégations de corruption.

Mme Mapisa-Nqakula, qui a été ministre de la défense de 2012 à 2021, a nié avoir commis des actes répréhensibles.

« Compte tenu de la gravité des allégations et des spéculations médiatiques qui en découlent, j’ai décidé de prendre un congé spécial de mon poste de présidente de l’Assemblée nationale, avec effet immédiat », a déclaré Mme Mapisa-Nqakula dans un communiqué.

Elle a ajouté qu’il n’y avait pas eu de notification formelle d’un mandat d’arrêt ou de communication concernant son arrestation imminente, après que les médias locaux aient rapporté qu’elle devait se rendre à la police vendredi.

« Mes avocats ont toutefois informé de manière proactive l’Autorité nationale des poursuites de ma volonté d’obtempérer et de coopérer si le besoin s’en faisait sentir », a-t-elle déclaré.

La chaîne publique sud-africaine SABC a rapporté que Mme Mapisa-Nqakula est soupçonnée d’avoir reçu des millions de rands en espèces à titre de pots-de-vin de la part d’un ancien entrepreneur militaire lorsqu’elle était ministre de la défense.

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Economie

Gaz naturel : Exxon est en avance sur le calendrier pour doubler son portefeuille de GNL, selon un dirigeant

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Exxon Mobil est en avance sur son plan visant à doubler la taille de son portefeuille de gaz naturel liquéfié (GNL) pour atteindre 40 millions de tonnes par an (mtpa) d’ici 2030 et se concentrera sur la vente de son propre gaz plutôt que sur le commerce de celui de tiers, a déclaré jeudi le responsable GNL de la société.

Exxon réorganise sa stratégie de négoce de GNL dans le contexte d’une production croissante de ce combustible et dans le cadre d’une réorganisation plus large de l’entreprise qui a débuté en 2022.

La major pétrolière est relativement peu présente sur le marché du GNL par rapport à TotalEnergies et Shell PLC. Shell est l’un des leaders du secteur et a réalisé 2,4 milliards de dollars grâce au négoce de GNL au quatrième trimestre 2023.

Contrairement à Shell et Total, Exxon prévoit de commercialiser principalement son propre gaz, a déclaré Peter Clarke, vice-président principal d’Exxon pour le GNL mondial.

« Notre portefeuille ne ressemblera jamais à celui de Shell, ni à celui de Total, nous ciblons différents aspects de la chaîne de valeur », a-t-il déclaré lors d’un entretien avec Reuters.

Exxon a déclaré en 2020 qu’il prévoyait de doubler son portefeuille de GNL pour atteindre 40 millions de tonnes par an d’ici dix ans, contre 20 millions de tonnes par an. Sa production actuelle est à peine inférieure à 30 millions de tonnes par an, a-t-il ajouté.

« Nous sommes en bonne voie pour atteindre l’objectif que nous nous sommes fixé en 2020 », a déclaré M. Clarke. « Et nous sommes légèrement en avance sur cet objectif.

Alors qu’Exxon pourrait élargir son portefeuille commercial en achetant et en commercialisant du GNL auprès de tiers, M. Clarke a déclaré qu’il considérait que les marges dans ce domaine étaient faibles par rapport aux bénéfices qu’il pouvait réaliser sur son propre gaz naturel.

Pour Exxon, il est plus intéressant de produire, de liquéfier et de vendre du gaz. Les contrats à long terme représentent toujours environ 80 % du commerce mondial de GNL, a-t-il ajouté.

« Le principal élément du GNL est évidemment la commercialisation du GNL lui-même », a déclaré M. Clarke. « Nous voulons avoir le meilleur portefeuille de GNL au monde en termes de solidité financière et de rendement financier. Je dirais que nous sommes en bonne voie pour y parvenir.

Les volumes d’Exxon augmenteront grâce au projet Golden Pass LNG, dans lequel Exxon détient une participation de 30 % avec QatarEnergies comme partenaire. Ce projet a une capacité d’exportation estimée à environ 18 millions de tonnes par an et produira son premier GNL en 2025.

La société a déclaré qu’elle comptait prendre une décision finale d’investissement pour son projet PNG Papua LNG en Papouasie-Nouvelle-Guinée cette année et commencer l’ingénierie et la conception d’un projet au Mozambique d’ici la fin de l’année.

M. Clarke a déclaré que ces projets aideraient Exxon à approvisionner ses clients en Asie, où la société voit le plus grand potentiel de croissance.

« Le marché est en pleine expansion. D’ici 2050, 75 % de la demande mondiale d’énergie proviendra de la région Asie-Pacifique, c’est pourquoi nous nous concentrons vraiment sur cette région.

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Economie

Le pétrole en pleine hésitation après la Fed

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Les prix du pétrole hésitaient jeudi, les investisseurs digérant la décision de la Fed, qui a maintenu ses taux directeurs mais a également indiqué son intention de procéder à plusieurs baisses dans l’année.

Vers 10H20 GMT (11H20 HEC), le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en mai, abandonnait 0,09% à 85,87 dollars.

Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate WTI pour livraison le même mois, dont c’est le premier jour d’utilisation comme contrat de référence, perdait 0,16% à 81,14 dollars.

Les prix du pétrole ont d’abord rebondi avant l’ouverture des marchés européens, avant d’osciller entre gains et pertes, en raison des « signes indiquant que la Réserve fédérale américaine (Fed) pourrait maintenir les taux d’intérêt à un niveau plus élevé pendant plus longtemps« , expliquent les analystes d’Energi Danmark.

L’institution monétaire américaine, qui a, sans surprise, laissé ses taux directeurs inchangés dans une fourchette de 5,25% et 5,50% pour la cinquième fois consécutive, a surtout affirmé son intention de procéder à trois baisses de ses taux directeurs d’ici la fin de l’année.

« La décision sur les taux a été conforme aux attentes« , mais les espoirs de baisses de taux à venir « sont venus de la conférence de presse habituelle du président de la Fed après la fin de la réunion« , explique Tamas Varga, analyste chez PVM Energy.

La perspective de baisses de taux à venir a dans un premier temps « stimulé l’appétit pour le risque et affaibli le dollar américain, ce qui a profité aux prix du pétrole brut« , explique Ole Hvalbye, de Seb.

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