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Economie

Amérique-Bourse : Wall Street ouvre en baisse

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« L’amitié a des grandeurs inconnues de l’amour. Elle se fortifie dans les difficultés, alors que les contraintes massacrent l’amour. » Mariama Bâ

Sur l’ensemble de la semaine dernière, les indices de Wall Street s’étaient encore nettement repliés: -1,30% pour le Dow Jones, qui a terminé à 33.614,80 points vendredi, et -2,78% pour le Nasdaq, qui a conclu la semaine à 13.313,44 points. Le S&P 500 a lui perdu 1,27% sur la semaine, finissant à 4.328,87 points.

La Bourse de New York a démarré en baisse lundi, après un nouveau bond des prix du pétrole durant la nuit avec les craintes de l’impact de la guerre en Ukraine et des sanctions. À 15H30 GMT, l’indice Dow Jones lâchait 1,25%, le Nasdaq, à dominante technologique, perdait 1,74% et le S&P 500 reculait de 1,38%.

Une troisième session de négociations entre une délégation ukrainienne et des représentants de la Russie a commencé lundi au Bélarus, visant à trouver une solution pour conclure un cessez-le-feu. Dans la journée, le président américain Joe Biden doit s’entretenir avec le président français Emmanuel Macron, le Premier ministre britannique Boris Johnson et le chancelier allemand Olaf Scholz. Ce dernier a fait savoir que les importations d’énergie fossile russe étaient «essentielles» pour la «vie quotidienne des citoyens» en Europe et que l’approvisionnement du continent ne pouvait pas être assuré autrement à ce stade.

Au rang des actions, les pétrolières grimpaient, comme ExxonMobil (+1,80% à 85,67 dollars), Halliburton (+6,74% à 36,48 dollars) ou Schlumberger (+7,68% à 41,92 dollars). Occidental Petroleum Corporation gagnait 3,35% à 58 dollars, alors que le groupe de Warren Buffett, Berkshire Hathaway, a indiqué avoir accru sa participation. Depuis le début de l’année, le Dow Jones a perdu 7,49%, le Nasdaq, à dominante technologique est largement en zone de correction en repli de 14,90%, tandis que le S&p 500 a reculé de 9,18%.

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Economie

Les prix du pétrole soutenus par les restrictions sur les exportations des produits russes

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 Le Messager d’Allah ﷺ‬ a dit : « La prudence provient d’Allah et la précipitation provient du diable. » 

Le prix du pétrole grimpait vendredi, porté par l’annonce de restrictions des exportations russes d’essence et de gazole, malgré la perspective de futures hausses des taux d’intérêt américains.

Vers 11h00 GMT (13h00 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en novembre, prenait 0,74% à 94,06 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison le même mois, montait de 0,96% à 90,60 dollars. En réponse à sa pénurie intérieure de carburant qui fait s’envoler les prix dans le pays, la Russie a introduit jeudi des restrictions aux exportations concernant l’essence et le gazole.

Cette décision « a immédiatement fait passer les cours (du brut, ndlr) en territoire positif », commente Tamas Varga, analyste chez PVM Energy. D’autant que l’Arabie saoudite et la Russie prévoient de priver le marché de 1,3 million de barils par jour jusqu’à la fin de l’année. La hausse des prix reste cependant modérée par plusieurs facteurs.

Bien que la Réserve fédérale américaine (Fed) ait annoncé mercredi ne pas relever ses taux d’intérêts, la banque centrale américaine a indiqué qu’elle prévoit de le faire plus tard cette année. Une éventualité « destructive de la demande », car pénalisant la croissance, indique Han Tan, analyste chez Exinity. Un contexte de taux élevés est par ailleurs « associé à un sentiment d’aversion au risque », note Stephen Innes, de SPI AM.

Ce phénomène limite l’envolée des prix de l’or noir, actif considéré comme volatil, et dope a contrario le dollar, valeur refuge. Le pétrole se négociant en dollar, son appréciation désavantage les acheteurs disposant de devises étrangères, qui voient leur pouvoir d’achat diminuer. A l’inverse, un dollar moins fort soutient traditionnellement la demande.

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Economie

Sénégal-Energie : ContourGlobal signe un accord avec Wärtsilä sur la centrale du Cap des Biches

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Usez, n’abusez pas ; ni l’abstinence ni l’excès ne rendent un homme heureux. Voltaire

Le groupe technologique Wärtsilä a annoncé, ce lundi 28 août, avoir signé un accord de service à long terme de deux ans avec ContourGlobal. L’accord couvre la centrale électrique du Cap des Biches de la société américaine à Dakar (Sénégal). « La centrale délivre une puissance de 86 MW.

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Economie

Sénégal-Armement : Le géant chinois Norinco ouvre ses portes à Dakar

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Usez, n’abusez pas ; ni l’abstinence ni l’excès ne rendent un homme heureux. Voltaire

Le groupe de défense chinois, China North Industries Corporation (Norinco) s’est implanté à Dakar. Ce géant en matière de vente d’armement compte augmenter son rayonnement en Afrique à travers cette installation.

Ce bureau ouvert dans la capitale sénégalaise participera à soutenir son expansion commerciale en Afrique de l’Ouest d’après le quotidien chinois South China Morning Post repris par l’agence Ecofin. 


Norinco va tenter de gagner des parts d’un marché longtemps dominé par la Russie qui a vu ses capacités en approvisionnement diminuées avec la guerre en Ukraine. 


Le contexte tendu de la région est plutôt propice avec l’augmentation de la demande en maturiel militaire dans des pays comme le Mali, le Niger, le Burkina Faso et la Guinée où des juntes ont pris le pouvoir ces dernières années. 


D’après Paul Nantulya, chercheur spécialiste de la Chine au Centre d’études stratégiques pour l’Afrique (CESA), un organisme rattaché au département de la Défense des USA, « l’ouverture du bureau de vente de Norinco à Dakar vise essentiellement à augmenter les ventes d’armes en Afrique de l’Ouest, en particulier à la lumière des lourdes sanctions imposées aux entreprises de défense russes et du sentiment anti-français croissant dans la région, qui pourrait compliquer le rôle de la France en tant que premier partenaire militaire de bon nombre des pays de la région ».


Le géant chinois avait auparavant ouvert des bureaux en Afrique du Sud, au Nigeria et en Angola.

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