Economie
La BID approuve un financement de 1,6 milliard de dollars pour 24 nouveaux projets dans 19 pays membres en Afrique, Asie et Europe

Dans le cadre d’une augmentation significative de ses opérations de financement, la Banque islamique de développement (BID), basée à Djeddah, notée AAA, a approuvé près de 1,6 milliard de dollars pour financer 24 nouveaux projets de développement dans 19 pays membres.
Lors de sa 343ème réunion tenue le 18 décembre et présidée par le Président de la BID et Président du Conseil, S.E. Dr Muhammad Al Jasser, le Conseil d’administration de la Banque, a approuvé un financement de 1,6 milliard de dollars américains pour de nouveaux projets de développement dans les pays membres situés en Asie, en Afrique et en Europe.
Les projets approuvés couvrent un large éventail de secteurs de développement, notamment « la construction de routes et le transport à grande vitesse ; énergie propre et renouvelable ; volaille, pêche, irrigation et agriculture; alimentation des enfants; enseignement universitaire et technique; ainsi que la formation professionnelle ».
Les approbations comprennent 1,37 milliard de dollars de financement provenant des ressources ordinaires du capital (ROC) de la Banque, en plus des 16,5 millions de dollars de financement alloués par la branche de lutte contre la pauvreté de la BID, le Fonds de solidarité islamique pour le développement (FSID).
Au cours de la session, Dr Muhammad Al Jasser a réitéré l’engagement de la Banque et son soutien continu aux pays membres pour relever leurs défis de développement et remettre leurs économies sur les rails.
Il a également déclaré qu’à cet effet, le Groupe de la BID continue de coopérer avec ses partenaires mondiaux de développement, notamment la communauté des Banques multilatérales de développement, le Groupe de coordination arabe et le FIDA, entre autres, pour mobiliser de nouvelles ressources.
« En effet, ce paquet s’inscrit dans la meilleure tradition d’agir de manière contracyclique en ces temps difficiles », a expliqué le Président Al Jasser.
En plus d’avoir examiné plusieurs autres rapports, les membres du Conseil ont approuvé la date et le lieu des Assemblées annuelles 2022 du Groupe de la Banque islamique de développement qui seront accueillies par la République arabe d’Égypte à Charm el-Cheikh, en juin.
Les nouveaux projets de développement approuvés lors de la 343e réunion du Conseil d’administration sont les suivants :
Indonésie
• 150 millions de dollars américains pour le « Projet de développement de la route transsud-sud de Java (Phase-II) ».
Le projet favorisera une croissance économique durable et la réduction de la pauvreté dans tout le sud de Java et améliorera le niveau de vie et la mobilité des personnes.
Pakistan
• 180 millions de dollars américains pour le « Projet de barrage et d’hydroélectricité de Mohmand ».
Le projet améliore la production d’énergie et fournit des ressources en eau durables pour l’agriculture et la consommation humaine, tout en améliorant la résilience de la région aux inondations.
Ouganda
• 86,5 millions de dollars américains pour le « Développement des périmètres d’irrigation dans les régions d’Unyama, Namulu et Sipi ».
Le projet contribue à la réduction de la pauvreté, à la croissance économique, à la sécurité alimentaire, à la résilience climatique et à l’amélioration de l’accès à des ressources en eau durables.
Sénégal
• 100 millions d’EUR pour le « Projet de train express régional (TER) (Phase-II) ».
Le projet vise à répondre à la demande croissante de trafic urbain entre le centre-ville de Dakar et l’aéroport AIBD en réduisant le temps de trajet de 1,5 à 0,5 heure, ainsi que les coûts d’exploitation et la pollution de l’air.
• 5 millions de dollars américains de financement du FSID pour la « Construction d’un complexe commercial et résidentiel Waqf au profit des écoles de Daras ».
Le projet permettra de remédier à l’insuffisance et à l’inadéquation des infrastructures des écoles, du mobilier, des équipements insuffisants et vétustes pour l’éducation.
Guinée
• 159,56 millions d’EUR pour la « Construction de la route LABÉ-MALI ».
Le projet soutient les infrastructures économiques dans les zones de production agricole, améliore l’accessibilité rurale et dynamise les chaînes de valeur agricoles et minières.
• 23 millions d’EUR à la République de Guinée pour couvrir le « Financement supplémentaire du projet d’interconnexion électrique à haute tension de l’OMVG ».
Le projet vise à satisfaire la demande croissante d’électricité, à améliorer les conditions de vie en procurant un bien-être économique collectif.
Côte d’Ivoire
• 47 millions de dollars américains pour le « Projet intégré de nutrition et de développement de la petite enfance ».
L’objectif du projet est de réduire de 5% le taux de retard de croissance chez les enfants de 0 à 59 mois. Le projet renforcera la qualité de l’offre de soins et des actions nutritionnelles.
• 115 millions d’EUR pour le projet « Appui au développement du projet de l’Université d’Odienné ».
Le projet vise à renforcer le développement du capital humain en augmentant l’accès à l’enseignement supérieur et en améliorant la pertinence du marché du travail.
Burkina Faso
• 17,39 millions d’EUR pour le « Projet de développement de l’éducation de base Phase V ».
Les principaux résultats comprennent l’élargissement de l’accès à l’éducation de base, l’amélioration de la qualité de l’éducation de base et la création/le renforcement d’entreprises et d’opportunités d’emploi.
Nigeria
• 29,75 millions de dollars américains pour le « Projet d’étude de phase II de conception d’avant-projet pour le gazoduc du Maroc – Segment Nigéria ».
Le projet permettra aux États d’Afrique de l’Ouest de remplacer la coûteuse production d’électricité au fioul par une production d’électricité renouvelable et une production d’électricité au gaz.
• 150,52 millions de dollars américains pour couvrir le « Projet d’appui de la BID au projet de zone spéciale de transformation agro-industrielle (ZSTA) ».
Le projet augmentera les revenus des ménages, créera 185 000 nouveaux emplois, améliorera la sécurité alimentaire et augmentera de 50 % les rendements des principales cultures. Il soutient un programme plus large du gouvernement pour la construction d’un développement agro-industriel inclusif et durable afin d’améliorer la compétitivité du secteur agricole. Dans le cadre de ce programme, le gouvernement travaille avec plusieurs bailleurs de fonds dont la BAD.
Togo
• 20 millions de dollars américains pour le « Projet d’appui au développement de l’éducation de base au Togo (PAAQET) ».
Le projet améliore l’équité et la qualité de l’éducation au Togo en facilitant la scolarisation de 102 000 écoliers et en offrant une formation et un renforcement des capacités à 6 000 enseignants.
La Gambie
• 14 millions de dollars américains pour le « Projet d’élargissement de l’autoroute BERTIL – HARDING ».
Le projet contribuera à la croissance économique du pays en soutenant le transport, augmentant le pourcentage du réseau routier primaire de 80% à 100%.
• 7 millions de dollars américains pour le « Projet de développement de l’Université de Gambie (UTG) Phase II ».
Le projet augmente le nombre d’élèves inscrits à l’UTG de 1 600, portant le pourcentage de filles inscrites à 25 % et 2 écoles construites et équipées.
Guinée-Bissau
• 17,15 millions de dollars américains pour le projet « Appui au développement du système d’enseignement professionnel dans le cadre du projet de liaison inversée Guinée-Bissau ».
Les résultats attendus du projet incluent la création de 720 places supplémentaires, le pourcentage de filles inscrites passé à 30% et 75% des diplômés trouvent un emploi.
Sierra Leone
• 40,98 millions de dollars américains pour le « Projet RRM pour l’amélioration des routes d’intégration régionale ».
Le projet contribuera à la réduction de la pauvreté en offrant des opportunités économiques, un accès aux marchés, la création de nouveaux emplois et des opportunités d’entrepreneuriat.
Turkménistan
• 90,15 millions de dollars américains pour le « Projet de développement du transport maritime ».
Les principaux résultats du projet comprennent une activité maritime accrue au port de Turkmenbashi, une capacité de transport améliorée et l’efficacité de la flotte maritime nationale.
Bahreïn
• 80,00 millions de dollars américains pour le « Projet d’amélioration de la transmission et de la distribution d’eau de l’usine d’Al Dur Phase-II ».
Le projet améliorera l’accès à l’approvisionnement en eau de 744 000 m3/jour à 971 000 m3/jour d’ici 2026 et bénéficiera à 420 000 civils et 100 000 ménages.
Albanie
• 56,8 millions de dollars américains au titre du financement supplémentaire pour la « Construction de la section Qukës-Qafë Plloçë du corridor routier Tirana-Korca ».
Les avantages attendus du projet comprennent l’amélioration de la connectivité régionale et internationale, des économies significatives de temps et de coûts de déplacement, et la création d’opportunités d’emploi.
Tadjikistan
• 17,15 millions de dollars américains pour le « Projet d’enseignement et de formation techniques et professionnels (EFTP) ».
Les résultats attendus du projet incluent 80% des étudiants formés à l’EFTP trouvent un emploi, la construction/réhabilitation et l’équipement de 13 centres d’enseignement professionnel.
Tchad
• 45 millions de dollars américains pour le « Projet de renforcement de la santé maternelle et infantile ». Les résultats attendus comprennent la construction et l’équipement de 20formations sanitaires, la réhabilitation de 87 formations sanitaires dont 2 Hôpitaux Provinciaux et le Centre de Santé Mère-Enfant de N’Djamena.
Niger
• 20,49 millions d’EUR pour la « Amélioration du projet routier Douchi-Kurdula-Nigeria Border Road ».
Le projet contribuera au développement socio-économique du Niger, réduira les coûts et temps de déplacement et augmentera l’accès aux équipements sociaux.
Mali
• 22,66 millions d’EUR pour le financement du « Projet de développement de la chaîne de valeur de la volaille et de la pêche ».
Le projet bénéficiera directement à 120 000 producteurs de volaille et de poisson et indirectement à environ 2 millions de familles d’agriculteurs. 60% des bénéficiaires directs du projet seront des femmes.
Economie
L’Afrique pour une place de choix sur le marché mondial du gaz

« La non-violence est une arme puissante et juste, qui tranche sans blesser et ennoblit l’homme qui la manie. C’est une épée qui guérit. »Martin Luther King
Les abondantes réserves de gaz naturel de l’Afrique ont le potentiel de répondre aux besoins mondiaux et d’offrir une alternative viable à la Russie.
Selon le Oil and Gas Journal, l’Afrique détient environ 7,5% des réserves mondiales prouvées de gaz naturel, avec des gisements importants situés dans des pays tels que le Nigeria, le Mozambique, la Tanzanie et l’Egypte.
Ces réserves pourraient devenir une source majeure de gaz naturel pour l’Europe et au-delà.
Les experts du secteur estiment que le développement de l’industrie du gaz naturel en Afrique changerait la donne pour le secteur mondial de l’énergie.
De nombreuses entreprises et investisseurs internationaux ont déjà pris conscience du potentiel de l’Afrique en tant qu’important fournisseur de gaz et investissent dans le développement des infrastructures et de la technologie nécessaires.
Selon la Chambre africaine de l’énergie (AEC), la République du Congo est le dernier pays à entrer dans la danse, ayant lancé le mois dernier son premier projet de gaz naturel liquéfié (GNL) en partenariat avec la firme énergétique italienne Eni.
Le projet de cinq milliards de dollars, qui utiliserait le gaz naturel du projet Marine XII d’Eni au large des côtes congolaises, devrait atteindre une capacité de production de trois millions de tonnes par an (mtpa) en 2025.
L’opération comprendrait deux usines flottantes de GNL (FLNG) qui devraient traiter le gaz des champs de Nen’ et de Litchendjili, qui sont déjà en production. Les navires FLNG (Unité flottante de gaz naturel liquéfié) devraient commencer à produire respectivement en 2023 et 2025.
« Cette avancée significative positionne le Congo comme un acteur clé sur le marché mondial du GNL et constitue un exemple précieux pour d’autres pays africains », s’est félicité NJ Ayuk, président exécutif de l’AEC.
Selon lui, le GNL représente une voie essentielle pour exploiter les ressources gazières de l’Afrique, réduire la pauvreté énergétique, créer des industries à valeur ajoutée et contribuer à la transition énergétique du continent.
Le rapport « State of African Energy 2023 Q1 Report », récemment publié par l’AEC, prévoit que la production de GNL du continent connaîtra « une croissance significative dans les années à venir ».
« Comme le souligne notre rapport, le projet Congo LNG est l’un des nombreux projets en cours sur notre continent, contribuant à ce qui devrait être une augmentation significative de la capacité totale de l’infrastructure d’exportation de GNL, de 80 millions de tonnes par an à environ 110 millions de tonnes par an d’ici 2030, et à plus de 175 millions de tonnes par an d’ici la fin de la prochaine décennie », a expliqué M. Ayuk.
Le Gabon, la Tanzanie, l’Afrique du Sud, le Nigeria, l’Angola, le Mozambique, le Sénégal et la Mauritanie sont d’autres pays qui contribuent à l’enthousiasme suscité par le boom du gaz africain.
Au début de l’année, l’entreprise anglo-française indépendante Perenco a annoncé son intention de construire un projet de GNL d’un milliard de dollars près de son terminal pétrolier du Cap Lopez au Gabon, qu’elle a racheté à l’entreprise française TotalEnergies en 2021.
« Après une période de construction de trois ans, la capacité de l’usine devrait atteindre environ 700.000 tonnes de GNL par an », a-t-il assuré.
La Tanzanie a récemment conclu des négociations avec les sociétés norvégienne Equinor et britannique Shell en vue de la construction d’un terminal GNL d’une valeur de 30 milliards de dollars dans la région de Lindi, au sud-est de l’Afrique de l’Est.
Il s’agit d’un projet très attendu qui intervient après des années de retard depuis que la Tanzanie a annoncé la découverte de vastes réserves de gaz naturel offshore estimées à 57,54 trillions de pieds cubes (tpc) au début des années 2000.
Le producteur sud-africain d’hélium et de gaz naturel Renergen a lancé la première phase du projet Virginia Gas dans la province de Free State en septembre 2022, devenant ainsi la première usine commerciale de GNL du pays.
L’installation devrait avoir une capacité de 50 tonnes de GNL par jour, qui passera à environ 680 tonnes lors de la deuxième phase.
En Guinée, le gouvernement développe un projet de GNL de 300 millions de dollars en partenariat avec West Africa LNG. Le projet prévoit la construction d’un terminal de réception de GNL, d’une usine de liquéfaction et d’un terminal d’exportation dans le port de Kamsar, sur la côte nord du pays.
En Angola, Eni et ses partenaires du New Gas Consortium – Cabinda Gulf Oil Company Limited (filiale de Chevron en Angola), l’entreprise publique Sonangol, BP et TotalEnergies – ont convenu de développer les champs gaziers de Quiluma et de Maboqueiro.
L’explosion des activités d’exploration et d’exploitation du gaz en Afrique survient alors que l’Europe cherche d’autres sources d’énergie après l’imposition de sanctions contre la Russie à la suite de son invasion de l’Ukraine en 2022.
Economie
Pénurie de carburant à Tambacounda

« La non-violence est une arme puissante et juste, qui tranche sans blesser et ennoblit l’homme qui la manie. C’est une épée qui guérit. » Martin Luther King
La ville de Tambacounda paie les conséquences du saccage des stations services à Dakar et à Ziguinchor. À Tambacounda, le carburant est devenu rare. Idem pour l’essence et le gasoil . Désormais, les consommateurs sont obligés d’aller jusqu’à Bakel pour s’approvisionner.
« Je devais me rendre à Bakel très tôt ce mercredi. Pour prendre toutes les dispositions, je me suis rendu cet après-midi, du mardi, dans une station d’essence pour prendre du carburant malheureusement on m’a signifié de revenir le lendemain car la station n’en dispose pas », a laissé entendre un agent de ce service régional dans le désarroi.
Ce dernier qui devait se rendre très tôt ce mercredi à Bakel a vigoureusement dénoncé le comportement de certains qui s’étaient motivés par le banditisme lors des manifestations.
Le chef de service a demandé aux autorités compétentes de sévir face aux comportements de ces pilleurs sinon des pères de famille risquent de partir en chômage technique après la destruction de leurs outils de travail.
Pour rappel, c’est après la condamnation de deux ans de prison du leader de Pastef, Ousmane Sonko dans l’affaire Sweet Beauty que de violentes manifestations avaient éclaté dans certaines localités du pays.
Plusieurs stations d’essence avaient été visées par les manifestants qui ont tout saccagé. Ce qui fait que ce secteur a enregistré d’énormes dégâts, avec des pertes de chiffres d’affaires inestimables. Une situation qui a affecté certaines stations d’essence de Tamba.
Economie
Le Gabon inaugure sa première raffinerie d’or, d’une capacité de 7 à 10 tonnes/an
« Ne croupissons pas dans la vallée du désespoir. » Martin Luther King
La Raffinerie gabonaise de l’or (ROG), la première usine de transformation de l’or au Gabon est opérationnelle. D’une capacité de raffinage de 7 à 10 tonnes d’or par an, cette usine a officiellement été mise en service le 2 juin par le président de la République, Ali Bongo Ondimba.
Fruit d’un partenariat entre la Société équatoriale des mines (SEM) et la société à capitaux londoniens et émiratis, Alpha Centauri Mining (ACM), « elle est la première du genre en Afrique centrale. Elle symbolise la métamorphose de notre économie vers plus de diversification, de création d’emplois et de valeur ajoutée locale via la transformation sur place de nos matières premières », a commenté le président de la République.
Grâce à cette usine, le Gabon projette d’« affiner 100 % de l’or produit dans le pays, faire de notre pays un hub en matière de raffinage de l’or en Afrique centrale, permettre jusqu’à une troisième transformation sur place afin notamment de fabriquer des bijoux au Gabon », explique la présidence de la République.
Avec la mise en service de cette usine, le Gabon pourrait bientôt interdire l’exportation de l’or brut. Car, au cours du conseil des ministres du 14 avril dernier, le gouvernement a pris un projet de décret obligeant les opérateurs à raffiner sur place au Gabon l’or destiné à l’exportation. Car, jusqu’à présent, l’or produit au Gabon était exporté à l’état brut, faute de raffinerie.
D’après des informations de la SEM, la production aurifère gabonaise est de 2 tonnes par an. Une grande partie de cette production provient du traitement de l’or alluvial. Dans les prochaines années, le Gabon espère produire davantage dans l’optique de se constituer une réserve stratégique d’or, pour plus de crédibilité sur les marchés extérieurs.
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