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Economie

Sénégal-Structuration de l’industrie pharmaceutique: Les acteurs livrent les résultats à mi-parcours

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Les travaux effectués durant ces trois dernières semaines dans la cadre de la structuration de l’industrie pharmaceutique du Sénégal ont permis de passer de 15 à 10 projets publics à mettre en œuvre pour un financement global arrêté à 95,6 milliards de francs Cfa et de retenir 15 projets privés dont le financement provisoire est de 210,7 milliards Cfa. Ces travaux pilotés par le Bureau opérationnel de suivi du Plan Sénégal émergent (Bos-Pse) ont également concerné, les reformes du secteur, la formation/métiers entre autres.

10 projets publics au lieu de 15; 15 projets privés, 05 métiers liés à l’industrie de la pharmacie, des réformes juridiques entre autres. Tels sont les résultats, à mi-parcours, des travaux menés ces trois dernières semaines par les groupes mis en place par le Bureau opérationnel de suivi du Plan Sénégal émergent (Bos-Pse). Des travaux qui entrent dans le cadre de la structuration de l’industrie pharmaceutique du Sénégal.

La restitution desdits résultats a fait l’objet, vendredi 8 octobre 2021, à Dakar, d’un atelier qui a enregistré la présence de toutes les parties prenantes au sommet desquelles les représentations des différents ministères de tutelle (santé, industrie, économie), des Partenaires techniques et financiers etc.

Les travaux ont permis de fusionner des projets publics pour se retrouver avec 10 au lieu de 15 pour un financement global de 95,6 milliards de francs Cfa. Les projets publics sont entre autres, le Centre sous régional d’expertise chimique, biopharmaceutique et environnemental (Cechibiope), le Projet de renforcement de l’assurance qualité des médicaments et des produits de santé, le Projet de délocalisation de la pharmacie nationale d’approvisionnement, la Pharmacopée sénégalaise.

Quant aux projets privés, il s’agit, entre autres, de : 1 projet dans la Recherche/Développement, 12 projets dans la production, 1 projet dans la distribution et enfin 1 projet Transverse. Ces 15 projets privés requièrent, d’après les acteurs, un financement provisoire de 210,7 milliards Cfa.

Ils soulignent dans la foulée que 12 réformes prioritaires ont été identifiées lors du Pré-Lab et 09 sont structurées dans le Lab dont la mise en œuvre requiert un financement de 30 008 000 000 Cfa entre le quatrième trimestre 2021 et le quatrième trimestre 2023.

La production de l’industrie pharmaceutique sénégalaise concernera des Phytomédicaments, des Solités massifs, des Médicaments génériques innovants des Dispositifs médicaux et Produits de dialyse et enfin des Vaccins et Bioproduits. 

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Economie

La BADEA va mobiliser 10 milliards FCFA au profit des PME togolaises

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Un homme demanda au prophète ﷺ‬ : « Donne-moi un conseil. » Il lui répondit : « Ne te mets pas en colère. » L’homme revint à la charge plusieurs fois et le Prophète lui répétait : « Ne te mets pas en colère. » Rapporté par Boukhâry.

Au Togo, les petites et moyennes entreprises (PME) vont bénéficier d’un appui supplémentaire de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA) pour soutenir leur développement.  Le gouvernement a en effet conclu jeudi 3 octobre, une convention d’une valeur de 10 milliards de FCFA avec la Banque de développement, en marge de la rencontre internationale Africa SME Champions Forum de Lomé, destinée au soutien aux PME. 

La signature de cet accord a été effectuée par le ministre de l’Économie et des Finances, Sani Yaya, et le Directeur général de la Banque, Sidi Ould Tah.

Cette importante facilité, s’accompagne également d’un second financement de 200 millions de FCFA, « destiné à l‘assistance technique des PME », selon les précisions du ministre de l’économie. 

« J’invite les PME à se mobiliser pour en bénéficier. », a exhorté la cheffe du gouvernement, Victoire Tomegah-Dogbe, présente lors de la signature. 

En sus de cette première entente, il a été signé une seconde convention avec l’AGF pour renforcer les garanties des PME. Les deux institutions financières vont conforter le mécanisme de garantie aux PME à travers des lignes et un intéressementau capital, a-t-on indiqué. 

Au Togo, ces accords s’annoncent quelques mois après que la BADEA, active dans plusieurs sur plusieurs projets de développement, bien que plus timide que d’autres acteurs, a annoncé son ambition de renforcer son portefeuille dans le pays.

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Economie

Le Burkina pose une condition pour la reprise des vols d’Air France

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 Un homme demanda au prophète ﷺ‬ : « Donne-moi un conseil. » Il lui répondit : « Ne te mets pas en colère. » L’homme revint à la charge plusieurs fois et le Prophète lui répétait : « Ne te mets pas en colère. » Rapporté par Boukhâry.

La compagnie aérienne française a suspendu ses vols au Burkina Faso, début août 2023, à la suite des évènements survenus au Niger.

Le gouvernement va examiner la requête d’Air France, désirant reprendre ses vols au Burkina Faso, a rapporté, jeudi l’Agence d’information du Burkina (AIB).

L’AIB qui cite des « sources de premières mains » a ajouté que cette reprise est conditionnée.

Les autorités de la transition ont exigé, toujours selon l’Agence, que « le Quai d’Orsay reconsidère d’abord le classement total en rouge du pays ».

C’est ce classement par le ministère français des Affaires étrangères qui avait prévalu à la suspension des vols le 7 août 2023, quelques jours après le coup d’état au Niger qui a renversé Mohamed Bazoun.

La compagnie aérienne française avait ensuite annoncé la reprise de ses vols pour le 12 août 2023, mais l’Agence nationale de l’aviation civile (ANAC) lui a opposé un refus catégorique pour le motif qu’elle devrait d’abord obtenir une approbation de son nouveau programme de vols. Depuis, Air France a multiplié les prorogations de sa suspension.

Toujours selon les informations de l’AIB, l’ANAC a soumis en début octobre au ministère en charge des Transports, une requête de Air France désirant reprendre ses vols au Burkina Faso.

Le gouvernement a donc imposé le retrait du pays de la « zone rouge » avant d’y répondre favorablement.

Depuis la prise du pouvoir, en septembre 2022, par le capitaine Traoré, huit mois après le coup d’État du lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba contre Roch Marc Christian Kaboré, les relations entre la France et le Burkina se sont considérablement détériorées.

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Economie


Le pétrole baisse encore après les stocks américains, inquiétudes sur la demande

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“La grande affaire et la seule qu’on doive avoir, c’est de vivre heureux.” “L’homme est né pour l’action, comme le feu tend en haut et la pierre en bas.

Les cours du pétrole poursuivent leur baisse jeudi, après leur chute de la veille en raison des craintes liées à la demande et de l’augmentation considérable des stocks d’essence aux Etats-Unis.

Vers 09H05 GMT (11H05 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en décembre, perdait 1,14% à 84,83 dollars.

Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate WTI pour livraison en novembre, baissait de 1,16% à 83,24 dollars.

La baisse des cours est en partie due à « la faiblesse des données » hebdomadaires de l’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA) sur la demande d’essence aux États-Unis publiées mercredi, affirme Stephen Innes, analyste pour SPI AM.

Le rapport de l’EIA a fait ressortir le plus faible volume de livraisons d’essence aux États-Unis depuis 25 ans pour cette période de l’année. Les stocks d’essence ont progressé de 6,5 millions de barils durant la semaine achevée le 29 septembre.

« L’accumulation des stocks d’essence s’est répercutée sur les marchés du brut, dans un contexte d’inquiétude quant à une éventuelle récession en 2024 due à la hausse des taux d’intérêt« , explique M. Innes.

« Les craintes concernant la demande (…) l’emportent soudainement sur le déficit de l’offre« , qui a dominé pourtant le sentiment du marché pendant plusieurs semaines, souligne Neil Wilson, analyste de Finalto.

« Actuellement, la morosité économique est au coeur des préoccupations et constitue le principal moteur des prix« , confirme Tamas Varga, de chez PVM Energy.

La hausse des cours « amorcée au début du mois de juillet s’est brusquement interrompue la semaine dernière, même si l’Arabie saoudite et la Russie ne montrent aucun signe d’intention de revenir sur leur politique de production« , note l’analyste.

L’Arabie saoudite comme la Russie ont en effet confirmé mercredi la poursuite de leurs baisses de production et d’exportations jusqu’à la fin de l’année, Moscou précisant toutefois qu’une analyse serait menée en novembre pour déterminer s’il convient de diminuer ou d’augmenter sa coupe.

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