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accusation de viols : un nouveau procès commence pour Benjamin Mendy
« Aime la vérité, mais pardonne l’erreur. »Voltaire
Acquitté en janvier de la plupart des charges qui pesaient contre lui, le footballeur international français Benjamin Mendy est de retour lundi devant la justice britannique pour être rejugé pour viol et tentative de viol. A l’issue de cinq mois de procès et de 14 jours de délibéré, l’international français de 28 ans avait fin janvier été déclaré non-coupable de six viols et d’une agression sexuelle.
Le jury n’était en revanche pas parvenu à un verdict pour deux accusations, portant sur le viol d’une femme de 24 ans en octobre 2020 et une tentative de viol sur une femme de 29 ans en 2018, qui seront réexaminées pendant trois semaines à Chester (nord de l’Angleterre).
Après l’énoncé du verdict, l’avocate du joueur de Manchester City, champion du monde en 2018, Jenny Wiltshire, avait souligné qu’il avait « hâte de laver son nom » pour pouvoir « commencer à reconstruire sa vie ». Le défenseur aux 10 sélections avec les Bleus, suspendu par son club de Manchester City, qui n’a pas renouvelé son contrat qui arrive à échéance le 30 juin, risquait la prison à vie.
Mendy sous contrôle judiciaire depuis janvier
A l’audience, qui avait débuté en août dernier, l’accusation avait présenté Benjamin Mendy comme un « prédateur » ayant abusé de victimes « vulnérables, terrifiées et isolées ». Le footballeur a démenti avoir été « un danger pour les femmes », assurant n’avoir eu que des rapports sexuels consentis. Son co-accusé Louis Saha Matturie (sans lien avec l’ancien footballeur Louis Saha), présenté comme son rabatteur, a lui été déclaré non-coupable de trois accusations de viols et le jury n’est pas parvenu à un verdict pour trois autres accusations de viol et trois d’agression sexuelle.
Après quatre mois d’audience, le jury, composé de huit hommes et quatre femmes, s’était retiré pour délibérer le 5 décembre mais les discussions avaient été interrompues à plusieurs reprises en raison de cas de Covid-19 puis pour une pause prévue de longue date, avant une trêve pendant la période des fêtes de fin d’année.
Vainqueur de la Coupe du monde 2018 avec l’équipe de France, où il était remplaçant, Benjamin Mendy a été incarcéré fin août 2021 et a passé plus de quatre mois en détention provisoire. Libéré début janvier 2022, il avait été placé sous contrôle judiciaire dans l’attente de son procès.
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Quatre influenceurs sur cinq n’indiquent pas que leur contenu est sponsorisé, dénonce l’UE
« Est, Ouest, Sud, ou Nord, il n’y a pas de différence. Peu importe votre destination assurez-vous seulement de faire de chaque voyage un voyage intérieur. Si vous voyagez intérieurement, vous parcourez le monde entier et au-delà. »Shams de Tabriz
Environ 360 créateurs de contenus vont faire l’objet d’une enquête, précise Bruxelles, au terme d’une étude menée dans 24 pays.
Une crème de beauté miracle, un bon plan d’investissement dans les cryptomonnaies, un conseil restaurant… Derrière les recommandations des influenceurs sur les réseaux sociaux se cachent le plus souvent des publicités déguisées, dénonce une étude publiée ce mercredi 14 février par l’Union européenne, qui développe ses contre-attaques.
En lien avec les régulateurs nationaux, Bruxelles a décortiqué les publications de 576 influenceurs (dont 82 comptant plus d’un million d’abonnés) sur les réseaux sociaux à travers 22 États membres ainsi qu’en Norvège et en Islande. La quasi-totalité (97%) d’entre eux publiait «des contenus commerciaux», mais seulement un sur cinq «indiquait systématiquement» et clairement qu’il s’agissait d’une publicité. Il s’agit pourtant d’une exigence du droit de l’UE en matière de protection des consommateurs.
Enquête approfondie pour 360 influenceurs
Certains évoquant simplement des «collaborations» ou «partenariats». Autres manquements : seuls 36% étaient enregistrés en tant que professionnels et 30% ne fournissaient aucune coordonnée d’entreprise. Près de 360 de ces influenceurs seront désormais ciblés par une enquête «plus approfondie» des autorités nationales et risquent des sanctions, précise l’exécutif européen.
Le marketing lié aux influenceurs aurait généré l’an dernier environ 20 milliards d’euros dans le monde. «Avec l’essor tentaculaire des réseaux sociaux, le monde des influenceurs est devenu une activité à part entière», souligne le commissaire européen à la Justice, Didier Reynders. «Ils exercent une influence considérable sur leurs abonnés, dont beaucoup sont mineurs. Je les appelle à faire preuve de beaucoup plus de transparence», a-t-il averti.
Activités «malsaines ou dangereuses»
Parmi les influenceurs étudiés, 119 promouvaient par ailleurs «des activités malsaines ou dangereuses» : «malbouffe», consommation de boissons alcoolisées, traitements médicaux ou esthétiques, jeux d’argent et de hasard, ou encore services financiers risqués (cryptomonnaies…), explique la Commission.
Les Vingt-Sept réfléchissent à adopter des règles communes pour mieux encadrer le secteur : un document de travail consulté par l’AFP recommande aux États membres «d’envisager un code éthique ou un label éthique pour les influenceurs». Ce document du 31 janvier affirme certes que les influenceurs peuvent avoir un «impact positif» sur les jeunes, par exemple en renforçant un sentiment de «communauté» pour les personnes sous-représentées dans les médias traditionnels, mais il pointe surtout de potentiels effets «néfastes».
En France, qui compterait 150.000 influenceurs, des plaignants ont lancé des actions collectives, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes a publié une étude accablante, et le rappeur Booba a multiplié les virulentes critiques en ligne. Une législation française adoptée l’an dernier introduit une batterie de mesures contre les abus, définissant un statut légal des influenceurs, et prohibant la promotion de certaines pratiques: chirurgie esthétique, abstention thérapeutique, paris sportifs, produits à la nicotine…
Alors que beaucoup d’influenceurs à succès opèrent depuis l’étranger, comme à Dubaï, le texte entend leur imposer de souscrire une assurance civile dans l’UE s’ils n’y résident pas, dans le but de pouvoir le cas échéant indemniser des victimes potentielles. De façon générale, l’Union européenne a durci son arsenal pour réguler internet.
Sa législation sur les services numériques (DSA) entre pleinement en vigueur ce samedi avec des obligations désormais imposées à l’ensemble des plateformes, sous peine d’amendes, pour mieux protéger les utilisateurs contre les contenus illégaux. Elle exige également plus de transparence en termes de publicité.
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Charles III : Le roi sera opéré d’une hypertrophie de la prostate la semaine prochaine
« Nous sommes nés avec la foi. La foi est à l’homme ce que la pomme est au pommier. »Ralph Waldo Emerson
On a l’âge de ses artères, dit-on… Normal, donc, qu’à 75 ans, le roi Charles III soit victime de quelques (petits) pépins de santé. Le monarque doit ainsi être hospitalisé, en raison d’une « hypertrophie de la prostate », la semaine prochaine, a annoncé mercredi le palais de Buckingham.
Le communiqué précise que « ce dont est atteint sa Majesté est bénin », et qu’il se rendra à l’hôpital la semaine prochaine pour une simple et bénigne « procédure correctrice ». « Les engagements publics du roi seront reportés pendant une courte période de récupération », ajoute le texte.
L’hypertrophie de la prostate est une pathologie très fréquente chez les hommes d’un certain âge. Mais en l’absence de traitement, elle peut entraîner une détérioration du fonctionnement de la vessie ainsi que des infections urinaires.
À noter que c’est la toute première fois, depuis son accession au trône le 8 septembre 2022 à la mort de sa mère la reine Elizabeth II, que le palais de Buckingham évoque publiquement l’état de santé du roi.
Autre singularité : cette annonce intervient le jour même de celle de l’hospitalisation de Kate, épouse du prince William, le fils aîné de Charles : après une opération abdominale – qui s’est déroulée avec succès –, La princesse devra garder le lit au moins 10 jours, au sein de la London Clinic, un établissement de soins et de santé privé.
Avec 20 minutes
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Cyberharcèlement : le compte X (ex-Twitter) de Booba suspendu pour une durée indéterminée
“On admire le monde à travers ce qu’on aime. ”De Alphonse de Lamartine
Le rappeur de 47 ans est accusé d’avoir publié de multiples messages malveillants à l’encontre d’un rappeur de «nouvelle génération» et de Mehdi Maïzi, animateur de l’émission spécialisée Le Code, diffusée sur Youtube.
Une suspension à durée indéterminée. Le compte X (ex-Twitter) du rappeur Booba a été de nouveau désactivé . En cause, des accusations de cyberharcèlement à son encontre, en raison de multiples publications visant à la fois le responsable rap d’Apple Music, Mehdi Maïzi, et le rappeur Serane.
Ces deux personnalités ont été ces derniers jours la cible de «menaces», de «messages de haine» et «d’harcèlement», issus de la communauté de Booba, selon le récit fait par Mehdi Maïzi sur X. D’après Libération , des «photomontages humiliants» et des «rumeurs d’adultère avec photos de femmes soi-disant maîtresses affichées sans ménagement» ont aussi été publiés.
out commence lorsque Mehdi Maïzi – qui anime Le Code, notamment diffusé sur Youtube – annonce sur ses réseaux sociaux la venue de Serane, rappeur de «nouvelle génération». Inconnu du grand public, le jeune chanteur de 25 ans est considéré comme un «artiste qui divise» de par sa «couleur musicale singulière», ses rythmes «nonchalants» et ses «partis pris visuels à contre-courant de l’art codifié du rap», comme l’assure le site spécialisé Cult7ure.
«Fléau pour notre culture»
De fait, l’invitation de Serane dans Le Code, émission de grande écoute sur la culture du rap, a fait enrager Booba la semaine dernière. Pour le rappeur de 47 ans déjà visé par une plainte pour cyberharcèlement de la part de Magali Berdah, Le Code veut «effacer la partie plus rentable du rap pour la remplacer». «Mehdi Moizi est devenu un véritable fléau pour notre culture. Je vais devoir sévir», a-t-il aussi écrit sur X, en publiant également des photos de Serane. Booba ira même jusqu’à annoncer, jeudi 11 janvier, la création d’un «nouveau média», destiné à «donner de la visibilité aux nouveaux talents ainsi qu’aux talents confirmés».
«Je ne peux pas tolérer que mon travail amène quiconque à colporter des rumeurs sur ma vie personnelle et mon entourage», a réagi Mehdi Maïzi. D’après nos confrères de 20 Minutes et de Midi Libre, cette vague de «cyberharcèlement» sonne comme une «vengeance» : Mehdi Maïzi a été employé de Booba, en tant qu’animateur dans son ancien média OKLM, créé en 2014, et qui a cessé en 2020. Reste à savoir si ce énième règlement de comptes impliquant le rappeur français historique sera le dernier, ou si X lui permettra à nouveau de revenir sur la plateforme : en janvier 2022, il avait été suspendu pour une photo de profil jugée trop violente.
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