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États-Unis : Elon Musk espère «aboutir» à 1000 milliards de dollars de coupes budgétaires

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Nommé par Donald Trump à la tête d’une commission pour «l’efficacité gouvernementale», l’homme le plus riche du monde entend sabrer dans le budget fédéral, actuellement de 6500 à 7000 milliards de dollars.

Elon Musk, qui avait assuré pouvoir réduire la dépense publique fédérale de deux mille milliards de dollars, a estimé jeudi qu’économiser moitié moins serait déjà un «super résultat».

Consacré par Donald Trump à la tête d’une commission pour «l’efficacité gouvernementale», l’homme le plus riche du monde avait l’objectif de réduire de deux mille milliards de dollars le budget du gouvernement fédéral, actuellement de 6500 à 7000 milliards de dollars.

«Nous allons tenter deux mille milliards. Ce serait le meilleur résultat possible (…). Et je pense que si nous essayons de réduire de deux mille milliards, nous aurons de bonnes chances d’aboutir à mille», a déclaré Elon Musk dans la nuit de mercredi à jeudi, dans une discussion avec le patron de la société de marketing Stagwell, Mark Penn, diffusée en direct sur son réseau social, X.

«Et si nous parvenons à réduire le déficit budgétaire entre deux mille et mille milliards, tout en libérant en quelque sorte l’économie pour obtenir de la croissance supplémentaire, pendant que la production de biens et de services progresse au même rythme que la masse monétaire, eh bien il n’y aura alors pas d’inflation. Je pense que tout ça serait un super résultat», a-t-il ajouté. Il a aussi expliqué avoir repéré de nombreux postes de dépenses dans lesquels sabrer, sans les détailler. «C’est comme être dans une salle pleine de cibles, vous pouvez fermer les yeux et être sûr de pas rater le coche», a-t-il décrit. Par le passé, il avait notamment envisagé des «réductions massives d’effectifs dans la bureaucratie fédérale», promettant toutefois des conditions de départ «décentes».

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Le rand sud-africain prend son envol en 2025

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Le rand sud-africain a commencé la nouvelle année sur une note positive jeudi, après une fin d’année 2024 volatile.

À 0803 GMT, le rand s’échangeait à 18,7625 contre le dollar, soit environ 0,6% de plus que sa clôture précédente.

Comme la plupart des monnaies des marchés émergents, le commerce du rand a été turbulent en novembre et décembre après l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis, dans un contexte d’incertitude sur les tarifs douaniers promis et d’autres politiques, ainsi que sur les perspectives plus hawkish de la Réserve fédérale.

« Les perspectives à court terme pour la monnaie locale restent négatives car les facteurs internationaux et la force du dollar pèsent », a écrit Andre Cilliers, stratège en devises chez TreasuryONE, dans une note.

Sur le marché boursier, l’indice Top-40 était en hausse d’environ 1 %.

L’obligation gouvernementale de référence 2030 de l’Afrique du Sud a été légèrement plus forte, avec un rendement en baisse de 1 point de base à 9,04%.

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Les députés convoqués en séances plénières lundi et mercredi

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Les députés sont convoqués en séances plénières à partir de lundi pour l’examen de trois projets de loi, suivi mercredi de la Déclaration de politique générale du premier ministre Ousmane Sonko, selon l’APS.

Le projet de loi n°09/2023 portant loi de règlement pour la gestion 2022 est l’un des trois textes sur lesquels les députés plancheront lundi.

Il sera défendu par le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, lors d’une séance plénière à partir de 9 h.

A sa suite, son collègue de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères, Yassine Fall, se présentera à son tour à l’hémicycle à 15 h.

Elle tentera de convaincre les députés d’adopter le projet de loi n°01/2024 autorisant le président de la République à ratifier la Convention de l’Union africaine sur la coopération transfrontalière (Convention de Niamey), adoptée à Malabo, le 27 juin 2014.

Le même jour à 20 h, le ministre de la Justice, Ousmane Diagne, présentera le projet de loi n°03/2024 relatif à la Commission nationale des Droits de l’Homme (CNDH).

Les députés recevront mercredi à partir de 10 h, le Premier ministre, Ousmane Sonko pour sa Déclaration de politique générale. Cette séance mettra fin à la troisième session extraordinaire.

En prélude à la journée de plénières, les commissions de l’Assemblée nationale vont se réunir pour étudier les textes soumis par le président de la République.

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Gabon: la SEEG, fournisseur d’eau et d’électricité, sous administration provisoire

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Le président gabonais Brice Oligui Nguema a décidé mardi de placer sous administration provisoire la société nationale de fourniture d’eau et d’électricité SEEG, après de fortes perturbations de ses livraisons et des détournements de ses recettes.

« Le général de brigade Brice Clotaire Oligui Nguema a décidé ce qui suit: la mise en administration provisoire de la SEEG et la nomination au prochain conseil des ministres de l’administrateur provisoire », a annoncé un communiqué officiel pointant « faiblesses et fautes de management » internes.

La SEEG « s’enfonçait dans une crise multiforme entraînant coupures d’approvisionnement et délestages au mépris des usagers », selon le communiqué publié par le porte-parole du gouvernement de transition (CTRI), le colonel Ulrich Manfoumbi Manfoumbi.

Fin août, la capitale gabonaise a été privée de courant pendant plusieurs jours avec un système de délestage tournant bien plus important que d’habitude: l’électricité a été coupée pendant plusieurs heures dans certains quartiers pour permettre l’alimentation d’autres parties de la capitale.

Selon la SEEG, ces perturbations étaient consécutives à des problèmes d’infrastructures. Mais plusieurs médias locaux ont révélé mi-août un différend pour retard de paiement entre la SEEG et l’entreprise britannique Aggreko, prestataire dans l’exploitation de centrales au Gabon.

Aggreko exigeait le paiement de 15 milliards de francs CFA (23 millions d’euros), en menaçant de « procéder à l’arrêt complet de (sa) centrale ». Le différent a été apaisé par le paiement d’une première partie de la dette, selon les médias locaux

Mi-août, la SEEG a par ailleurs fait état d’un « vaste système de détournement » du système de recharge des compteurs individuels « causant des pertes financières significatives pour l’entreprise et menaçant la sécurité des données et la confiance des consommateurs ».

En forme de réponse, le porte-parole du CTRI a annoncé mercredi « la digitalisation et la sécurisation de tout le système informatique » et « la création d’une direction de la sécurité et de la lutte contre la fraude dirigé par un membre du CTRI ».

A quelques jours du premier anniversaire du coup d’Etat qui a marqué la fin de la dynastie Bongo, le nouveau pouvoir annonce aussi dans son communiqué la remise de 22.500 compteurs et la réduction des tarifs d’installation pour « résoudre le lancinant problème de disponibilité des compteurs ».

Le communiqué précise aussi que l’audit de la SEEG lancé vendredi à la demande du chef de l’Etat se fera sans réduction d’effectif et sans impact sur les salaires des agents.

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