Education
Publi-Reportage : L’originalité de l’institut Edge réside dans l’accent mis sur l’employabilité
« Ne vous contentez pas des histoires de ceux qui vous ont précédé. Allez de l’avant et construisez votre propre histoire. » Rumi

en plus exigeants du monde moderne en termes de compétences techniques et
pratiques
L’Institut EDGE, créé à l’initiative des chercheurs du CRES, propose une offre
de formation innovante dans différentes filières. L’originalité de cet institut
réside dans l’accent mis sur l’employabilité pour faire le départ d’avec
l‘université publique classique. Par exemple dès la troisième année de
licence, les étudiants auront le privilège de faire un apprentissage des métiers
du droit et des chiffres en vue de leur faciliter les portes de l’emploi en
entreprise.
Les programmes qu’offrent EDGE sont orientés vers la préparation ou/et
l’exercice aux emplois de responsabilité dans différents métiers notamment les
structures directionnelles, les services opérationnels comme le juridique,
l’économique, le marketing entre autres.
En bref, l’Institut EDGE a été pensé et conçu pour répondre aux besoins de plus
en plus exigeants du monde moderne en termes de compétences techniques et
pratiques qui doivent permettre de faire face aux changements économiques
auxquels le Sénégal en particulier, et l’Afrique en général sont confrontés. Voilà
pourquoi il se positionne en tant qu’acteur en proposant, dans le cadre du
parcours académique, des initiatives innovantes associées à une vision
prospective claire.
Article à lire
Une grande attention est portée aux contenus pédagogiques car, pour rendre
efficients les programmes de formation et amener les étudiants et les
professionnels au niveau d’expertise requis, il est indispensable d’être vigilant
notamment quant à l’adéquation entre le référentiel de formation conçu par le
corps professoral et le référentiel du métier conçu par les acteurs de chaque
secteur d’activité.
Le corps professoral est composé d’éminents universitaires et de
professionnels d’ici et d’ailleurs très au fait des enjeux d’une formation de
qualité pratique en vue du développement économique et social de l’Afrique.
Dirigé par le Professeur Abdoulaye Sakho, EDGE a décidé de faire de l’approche
métier sa priorité. Oui, pour lui, « fini les diplômés sans expérience. » La preuve
surtout dans cette licence d’excellence qui n’existe nulle part ailleurs et dans
laquelle, les étudiants sont formés et préparés pour leur entrée dans le monde
du travail pendant leur formation grâce à un système alternant l’entreprise et
l’école.
Education
l’Égyptien Khaled el-Enany nouveau directeur général de l’UNESCO
» La patience est amère, mais son fruit est doux. » Proverbe Français
Le Conseil exécutif de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a désigné ce lundi 6 octobre l’Égyptien Khaled el-Enany comme son directeur général pour les quatre prochaines années, face au Congolais Firmin Edouard Matoko.
L’annonce a été faite lundi par sa présidente Vera El Khoury Lacoeuilhe.
Khaled el-Enany, ancien ministre égyptien du Tourisme et des Antiquités (2016-2022) a recueilli 55 voix contre 2 pour le Congolais Firmin Edouard Matoko.
Le candidat égyptien a reçu, lors de la campagne pour ce poste, le soutien public de la Ligue des pays arabes, de l’Union africaine et de pays comme le Brésil, la France, l’Allemagne ou la Türkiye.
Il a annoncé devant la presse que pendant les 100 premiers jours, il rencontrera tous les représentants des États membres pour élaborer un plan stratégique consistant à faire face à la baisse de budget estimée entre 8 et 11% de l’Unesco à cause du départ des Etats-Unis en 2026 et améliorer l’efficacité de l’institution souvent jugée trop bureaucratique.
Le nouveau directeur général entrera en fonction le 14 novembre prochain, succédant à Audrey Azoulay en poste depuis 2017.
Il devra être désigné par la Conférence générale de l’Unesco à Samarcande, en Ouzbékistan, le 9 novembre.
Education
La Mauritanie et le Tchad signent un accord de 137 millions USD pour réintégrer 850 000 jeunes déscolarisés
« Réussir c’est être en paix avec soi même, maitriser ses pensées, focaliser ses objectifs et n’attendre rien de personne. » DOUBAL Abdeljalil
Un accord de financement de 137 millions de dollars (environ 125 millions d’euros) a été signé le 22 juillet 2025 à Nouakchott entre la Mauritanie, le Tchad, la Banque mondiale et le gouvernement allemand, dans le cadre du projet régional « Relance Sahel ».
Ce projet vise à réintégrer près de 850 000 jeunes non scolarisés, dont 50 % de filles, dans les systèmes éducatifs des deux pays, en ciblant particulièrement les zones rurales, nomades et frontalières vulnérables.
Sur ce montant, la Mauritanie reçoit 72,32 millions USD, comprenant un prêt concessionnel de 44 millions USD de l’Association internationale de développement (IDA) et une subvention de 12,9 millions USD de l’Allemagne, qui soutient l’ensemble du programme à hauteur de 56 millions USD. Le reste est alloué au Tchad pour une répartition équitable.
Face aux 5,1 millions de jeunes déscolarisés dans ces deux pays, selon la Banque mondiale, le projet « Relance Sahel » propose un modèle d’« école ouverte » adapté aux communautés nomades, réfugiées et déplacées, pour favoriser un accès flexible et inclusif à l’éducation.
Education
Togo : 213 milliards F de CFA pour le Plan sectoriel de l’éducation en 2024
« Juger autrui, c’est se juger. » William Shakespeare
En 2024, le Togo a investi 213 milliards FCFA dans la mise en œuvre du Plan sectoriel de l’éducation (PSE), soit un taux d’exécution budgétaire de 89,29 % sur un budget prévu de 239 milliards FCFA. Ce montant marque une hausse de 2,7 % par rapport à 2023.
Les financements ont été majoritairement apportés par des partenaires comme la BID, la Banque mondiale et l’AFD, appuyant divers projets éducatifs, dont le PAAQET, le PAQEEB, le PAREC II et un programme d’éducation inclusive dans les préfectures de Mô et Bassar.
Pour rappel, le Plan sectoriel de l’éducation constitue la feuille de route du gouvernement togolais pour la transformation du système éducatif national à l’horizon 2030. Il s’inscrit dans une logique de coordination avec les partenaires techniques et financiers, qui assurent l’essentiel de son financement.
Entre 2023 et 2024, le Togo a construit 1 098 salles de classe et en a réhabilité 690 dans les cycles préscolaire, primaire et secondaire. Dans l’enseignement technique et la formation professionnelle, 107 salles, 49 ateliers, 16 magasins, 3 salles informatiques et 60 dortoirs ont été construits ou rénovés.
Le Centre de formation aux métiers de l’industrie (CFMI) a également été renforcé. Dans l’enseignement supérieur, les investissements ont permis la mise en service du bloc pédagogique WASCAL et la construction de deux centres de recherche.
-
Economie5 ans agoCameroun- Transport : Projet de construction de la voie ferrée Yaoundé-Douala, l’Etat lance un appel à manifestation d’intérêt pour les études techniques
-
santé et bien-être3 ans agoClou de girofle et romarin duo de choc pour vos cheveux
-
Développement personnel5 ans agoDéveloppement Personnel : résumé du livre l’ego est l’ennemi de Ryan Holiday
-
A vendre2 ans agoAvec « Sniper » et « Dichlofort » Dites A Dieu aux cafards, aux insectes (3000F CFA)
-
Economie5 ans agoSénégal-Mine : la société d’exploration THOR annonce des résultats prometteurs dans la zone de Kéniéba
-
Economie5 ans agoAgriculture-Algérie: Réduire les importations agricoles de 2,5 milliards de dollars à l’horizon 2024
-
Développement personnel5 ans agoDev Personnel : Qu’est-ce que la confiance en soi ?
-
Développement personnel5 ans agoDéveloppement Personnel : Savoir oser
