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Economie

Finance : la Bourse de Tokyo au rouge à cause de la covid-19

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La Bourse de Tokyo reculait lundi en matinée, les inquiétudes sur la pandémie au Japon et ailleurs dans le monde, reléguant au second rang l’annonce positive de l’accord trouvé dimanche à Washington sur un nouveau plan d’aide pour l’économie américaine. L’indice vedette Nikkei perdait 0,68% à 26.580,32 points vers 01h20 GMT, tandis que l’indice élargi Topix lâchait 0,69% à 1.780,87 points.

Alors que des nombres record de cas quotidiens d’infections sont actuellement recensés au Japon, faisant craindre un effondrement du système de santé, le gouvernement nippon s’apprêterait à annoncer un budget record de 106.600 milliards de yens (près de 843 milliards d’euros) pour l’exercice 2021/22, selon l’agence Bloomberg.

Le gouvernement japonais avait dévoilé début décembre un troisième plan d’aide à l’économie nationale cette année, de plus de 580 milliards d’euros, pour financer notamment des mesures sanitaires et sociales liées à la pandémie.

Après des mois de blocage, un accord a par ailleurs été trouvé dimanche au Congrès américain entre démocrates et républicains pour voter un nouveau plan d’environ 900 milliards de dollars pour soutenir l’économie des Etats-Unis, grandement fragilisée par la crise sanitaire.

Le yen était stable face au dollar, à raison d’un dollar pour 103,28 yens vers 01h45 GMT contre 103,30 yens vendredi à 21h00 GMT. La monnaie japonaise s’appréciait en revanche par rapport à l’euro, lequel valait 126,10 yens contre 126,62 yens en fin de semaine dernière. Un euro s’échangeait par ailleurs pour 1,2208 dollar, faiblissant par rapport à vendredi 21h00 GMT (1,2257 dollar).

Les prix du pétrole étaient nettement dans le rouge lundi matin en Asie, après avoir grimpé toute la semaine dernière. Vers 01h40 GMT le prix du baril de brut américain WTI cédait 3,24% à 47,51 dollars et celui du baril de Brent de la mer du Nord perdait 3,29% à 50,54 dollars.

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Economie

Les prix du pétrole soutenus par les restrictions sur les exportations des produits russes

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 Le Messager d’Allah ﷺ‬ a dit : « La prudence provient d’Allah et la précipitation provient du diable. » 

Le prix du pétrole grimpait vendredi, porté par l’annonce de restrictions des exportations russes d’essence et de gazole, malgré la perspective de futures hausses des taux d’intérêt américains.

Vers 11h00 GMT (13h00 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en novembre, prenait 0,74% à 94,06 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison le même mois, montait de 0,96% à 90,60 dollars. En réponse à sa pénurie intérieure de carburant qui fait s’envoler les prix dans le pays, la Russie a introduit jeudi des restrictions aux exportations concernant l’essence et le gazole.

Cette décision « a immédiatement fait passer les cours (du brut, ndlr) en territoire positif », commente Tamas Varga, analyste chez PVM Energy. D’autant que l’Arabie saoudite et la Russie prévoient de priver le marché de 1,3 million de barils par jour jusqu’à la fin de l’année. La hausse des prix reste cependant modérée par plusieurs facteurs.

Bien que la Réserve fédérale américaine (Fed) ait annoncé mercredi ne pas relever ses taux d’intérêts, la banque centrale américaine a indiqué qu’elle prévoit de le faire plus tard cette année. Une éventualité « destructive de la demande », car pénalisant la croissance, indique Han Tan, analyste chez Exinity. Un contexte de taux élevés est par ailleurs « associé à un sentiment d’aversion au risque », note Stephen Innes, de SPI AM.

Ce phénomène limite l’envolée des prix de l’or noir, actif considéré comme volatil, et dope a contrario le dollar, valeur refuge. Le pétrole se négociant en dollar, son appréciation désavantage les acheteurs disposant de devises étrangères, qui voient leur pouvoir d’achat diminuer. A l’inverse, un dollar moins fort soutient traditionnellement la demande.

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Economie

Sénégal-Energie : ContourGlobal signe un accord avec Wärtsilä sur la centrale du Cap des Biches

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Usez, n’abusez pas ; ni l’abstinence ni l’excès ne rendent un homme heureux. Voltaire

Le groupe technologique Wärtsilä a annoncé, ce lundi 28 août, avoir signé un accord de service à long terme de deux ans avec ContourGlobal. L’accord couvre la centrale électrique du Cap des Biches de la société américaine à Dakar (Sénégal). « La centrale délivre une puissance de 86 MW.

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Economie

Sénégal-Armement : Le géant chinois Norinco ouvre ses portes à Dakar

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Usez, n’abusez pas ; ni l’abstinence ni l’excès ne rendent un homme heureux. Voltaire

Le groupe de défense chinois, China North Industries Corporation (Norinco) s’est implanté à Dakar. Ce géant en matière de vente d’armement compte augmenter son rayonnement en Afrique à travers cette installation.

Ce bureau ouvert dans la capitale sénégalaise participera à soutenir son expansion commerciale en Afrique de l’Ouest d’après le quotidien chinois South China Morning Post repris par l’agence Ecofin. 


Norinco va tenter de gagner des parts d’un marché longtemps dominé par la Russie qui a vu ses capacités en approvisionnement diminuées avec la guerre en Ukraine. 


Le contexte tendu de la région est plutôt propice avec l’augmentation de la demande en maturiel militaire dans des pays comme le Mali, le Niger, le Burkina Faso et la Guinée où des juntes ont pris le pouvoir ces dernières années. 


D’après Paul Nantulya, chercheur spécialiste de la Chine au Centre d’études stratégiques pour l’Afrique (CESA), un organisme rattaché au département de la Défense des USA, « l’ouverture du bureau de vente de Norinco à Dakar vise essentiellement à augmenter les ventes d’armes en Afrique de l’Ouest, en particulier à la lumière des lourdes sanctions imposées aux entreprises de défense russes et du sentiment anti-français croissant dans la région, qui pourrait compliquer le rôle de la France en tant que premier partenaire militaire de bon nombre des pays de la région ».


Le géant chinois avait auparavant ouvert des bureaux en Afrique du Sud, au Nigeria et en Angola.

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