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santé et bien-être

Les bienfaits de l’huile d’olive sur notre santé

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«Le silence est d’or quand vous n’avez pas de bonne réponse à donner. » Mohamed Ali

Pas seulement dans le régime crétois, “l’huile d’olive devrait être la base de notre alimentation.” Selon le Docteur Didier Chos, Président de l’Institut Européen de Diététique et de Micronutrition, l’intérêt de l’huile d’olive sur notre santé va bien plus loin et c’est sans conteste celle à privilégier en huile d’assaisonnement. 

L’huile d’olive est le pilier central du modèle alimentaire méditerrannéen. Ce modèle est reconnu par la médecine comme étant celui qui nous protège le mieux contre les maladies chroniques et ce, quelque soit leur origine. En partant de ce constat, nous pouvons déjà comprendre que l’huile d’olive renferme dans son nectar de véritables vertus pour notre santé, mais qu’est-ce qui la rend si intéressante ?

Tout d’abord, elle est riche en acides gras, et pas n’importe lesquels ! Il s’agit de l’huile la plus riche en acides gras mono-insaturés, autrement dit oméga-9, qui est la matière première de toutes les membranes de nos cellules. Avoir une alimentation riche en acide oléique – l’acide gras mono-insaturé présent dans l’huile d’olive – permet donc de renforcer les membranes de nos cellules et ainsi faciliter la communication cellulaire.

En d’autres termes, la consommation d’acides gras mono-insaturés agit directement sur le bon fonctionnement global de notre organisme. Il est par ailleurs conseillé de l’associer à des acides gras dits poly-insaturés et qui correspondent aux oméga-3 et oméga-6.

L’huile d’olive est aussi très riche en différents polyphénols qui sont de puissants antioxydants et qui ont un grand pouvoir contre le vieillissement. Sa consommation permet entre autres de lutter contre les maladies cardiovasculaires, la maladie d’alzheimer ou encore le vieillissement cutané.

On peut aussi en trouver dans les fruits et légumes, où ce sont eux qui leur donnent leur couleur et leur saveur ! Les épices, les herbes aromatiques, le thé, le café, et même le vin sont eux aussi très riches en polyphénols.

Le modèle alimentaire méditerrannéen a donc montré ses effets contre les maladies chroniques, grâce à sa concentration en acides gras et en polyphénols, permettant au métabolisme de fonctionner de manière plus active et de lutter contre le vieillissement.

Les études ont d’ailleurs montré que les populations vivant dans le sud et le pourtour méditerrannéen ont une bien meilleure protection cardiovasculaire que les populations vivant dans le nord.

Pas de surprise quand on sait que dans le sud, on cuisine principalement à l’huile d’olive et à la graisse de canard (riche elle aussi en acides gras mono-insaturés), alors que dans le nord, on préfère la cuisine au beurre, au saindoux et à la crème fraîche qui sont elles très riches

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Sénégal- Fièvre de Crimée-Congo : un décès enregistré à Birkilane, dans la région de Kaffrine

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Le district sanitaire de Birkilane, dans la région centrale de Kaffrine, a enregistré un décès parmi les deux cas de fièvre hémorragique de Crimée-Congo confirmés dans le département, a appris l’APS auprès du directeur régional de la santé, le docteur Mbaye Thiam.

« Le district sanitaire de Birkilane a notifié deux cas de fièvre hémorragique de Crimée-Congo. L’un des deux cas est décédé, tandis que l’autre évolue bien », a-t-il révélé lors d’un entretien téléphonique.

Selon le directeur régional de la santé de Kaffrine, 51 cas contacts identifiés sont actuellement suivis par les services compétents. Il a exhorté la population à rester calme et à se rendre à l’hôpital dès l’apparition des premiers symptômes pour une prise en charge précoce.

La fièvre hémorragique de Crimée-Congo est une maladie transmise de l’animal à l’homme par l’intermédiaire des tiques, comme l’a rappelé le ministère de la santé après l’apparition du premier cas fin avril 2023.

Le virus est véhiculé par les animaux sauvages et domestiques. Il se transmet à l’homme par « contact direct avec du sang ou des tissus provenant d’animaux infectés ».

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Côte d’Ivoire : première opération réussie de séparation de siamoises à l’hôpital Mère-Enfant de Bingerville

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L’Hôpital Mère-Enfant de Bingerville a confirmé la réussite de la toute première opération de séparation de siamoises réalisée en Côte d’Ivoire . Ce lundi 6 janvier 2025, lors d’une conférence de presse tenue dans l’amphithéâtre de l’établissement, la direction a partagé cette avancée majeure, soulignant à la fois l’exploit technique et l’engagement de l’équipe médicale.

Selon les responsables de l’hôpital, l’opération, menée par une équipe pluridisciplinaire de chirurgiens, anesthésistes, pédiatres et infirmiers, a duré plusieurs heures et a nécessité une préparation minutieuse de plusieurs mois. Les deux petites filles, nées en août 2024, étaient jointes au niveau de l’abdomen et partageaient certains organes vitaux.

Le succès de cette opération a été rendu possible grâce à des équipements médicaux de pointe et au soutien stratégique de l’ONG La Chaîne de l’Espoir, qui a collaboré étroitement avec l’équipe médicale locale. Les deux fillettes, désormais séparées, se portent bien et sont sous surveillance médicale intensive pour garantir leur rétablissement complet.

« Cette prouesse est le fruit d’une collaboration exceptionnelle entre nos spécialistes et des partenaires internationaux. Elle démontre que notre pays dispose désormais des compétences et des infrastructures pour relever les défis médicaux les plus complexes », a déclaré la professeure Sylvia Da Sylvia-Anoma, directrice médicale et scientifique de l’hôpital.

Cette réussite place la Côte d’Ivoire sur la carte des pays africains capables de réaliser des interventions chirurgicales de haute complexité. Elle souligne également l’importance des investissements dans le secteur de la santé pour répondre aux besoins croissants des populations.

Le docteur Aka Charles Koffi, directeur de cabinet du ministre de la Santé, présent à la conférence, a félicité l’équipe médicale et a souligné l’importance de cet exploit pour le pays : « Cet événement marque une nouvelle ère pour la médecine ivoirienne. Le ministère continuera d’accompagner et de soutenir les initiatives qui renforcent notre système de santé. »

Les parents des siamoises, émus, ont exprimé leur gratitude envers l’équipe médicale, le personnel de l’hôpital et l’ONG La Chaîne de l’Espoir pour leur dévouement. « Ce qui semblait être un miracle est devenu réalité grâce à eux. Nous leur serons éternellement reconnaissants », ont-ils déclaré.

Avec cette première historique, l’Hôpital Mère-Enfant de Bingerville confirme sa place en tant que centre de référence en matière de soins spécialisés en Côte d’Ivoire et en Afrique de l’Ouest.

Avec Abidjan NET

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Sénégal : Vaxsen bénéficie d’un financement de plus de 28 milliards CFA

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VaxSen, la structure de production et de commercialisation de vaccins de l’Institut Pasteur de Dakar, va bénéficier d’un financement de plus de 28 milliards de francs CFA (45 millions de dollars) aux termes d’une convention signée vendredi avec la Development Finance Corporation (DFC) américaine, la Banque africaine de développement (BAD) et la Société financière internationale (SFI).

La convention de financement a été paraphée par les parties concernées lors d’une visite du Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, au vaccinopôle de Diamniadio, situé à une trentaine de kilomètres de Dakar.

La directrice adjointe de la DFC, Nisha Biswal, a déclaré qu’elle était fière d’avoir soutenu l’Institut Pasteur de Dakar avec un prêt de 15 millions de dollars et une subvention précédente de 3 millions de dollars pour l’assistance technique.

« Ces contributions ont facilité la construction de l’installation de Madina et l’expansion des capacités de fabrication de vaccins flexibles », a-t-elle déclaré, soulignant que “cette installation améliorera considérablement la capacité de l’IPD à produire une variété de vaccins au-delà de leur concentration traditionnelle sur le vaccin contre la fièvre jaune”.

« Ce partenariat souligne notre engagement commun à faire progresser la santé mondiale et à soutenir des solutions innovantes en matière de soins de santé », a-t-elle ajouté.

Le Dr Amadou Sall, directeur général de l’IPD, s’est félicité de ce financement, déclarant que le partenariat forgé par l’IPD et l’Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail (ESA) était un gage de réussite.

« Grâce à ce financement, nous nous rapprochons de la souveraineté vaccinale et nous veillons à ce qu’aucun Africain ne soit exclu de l’accès à des solutions vitales », a-t-il déclaré.

Assiétou Diouf, directrice générale de VaxSen, a assuré que l’entité qu’elle dirige « s’engage à tirer parti de l’innovation et des partenariats pour relever les défis de l’équité en matière de santé ». Ce financement représente, selon elle, « un moment crucial pour fournir un accès durable aux vaccins à travers l’Afrique ».

Les fonds reçus dans le cadre de cet accord seront utilisés pour accroître la capacité de production de vaccins dans les nouvelles installations du projet Madiba de l’IPD, une installation de pointe conçue pour permettre la production et le remplissage de vaccins d’intérêt régional en Afrique.

Ils serviront également à stimuler la création d’emplois et la croissance économique au Sénégal et dans toute l’Afrique, en vue de remédier aux pénuries mondiales de vaccins et de renforcer la résistance aux pandémies et aux maladies évitables.

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